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Titre Original :

Gattaca

Origine :

U.S.A.

Genre :

Science-fiction

Durée :

106 Minutes Env.

Sortie En Salle :

29 Avril 1998

Réalisateur :

Andrew Niccol

Avec :

Ethan Hawke (Vincent Freeman), Uma Thurman (Irene Cassini), Jude Law (Jerome Eugene Morrow), Alan Arkin (Detective Hugo), Loren Dean (Anton), Ernest Borgnine (Caesar), Gore Vidal (Directeur Josef), Xander Berkeley (Dr. Lamar), Jayne Brook (Marie Freeman), Elias Koteas (Antonio Freeman), Maya Rudolph (Nurse), Blair Underwood (Généticien), Tony Shalhoub (L'Allemand), Mason Gamble (Le jeune Vincent), William Lee Scott (Le jeune Anton), Ken Marino (Sequencing Technician), Vincent Freeman (Teen Chad Christ), Dean Norris (Cop on the Beat), George Marshall Ruge (Beaten Detective), Cynthia Martells (Cavendish)...

 

lassification :

 

L'HISTOIRE :

Dans un monde parfait, Gattaca est un centre d'études et de recherches spatiales pour des jeunes gens au patrimoine génétique impeccable. Jérôme, candidat idéal, voit sa vie détruite par un accident tandis que Vincent, enfant naturel, rêve de partir pour l'espace. Chacun des deux va permettre à l'autre d'obtenir ce qu'il souhaite en déjouant les lois de Gattaca.

 

MON AVIS :

A raison, ce film est devenu culte. Law, Hawke et Thurman sont impeccables, la photographie donne au film son aspect de chef d'œuvre, et la réalisation d'Andrew Niccol est prenante. Une belle leçon de cinéma...

 

TEST IMAGES :

Faisant suite à une superbe édition SD, le Blu-Ray du film de Mike Niccol s'en tire avec tous les honneurs et passe bien près de la perfection. Une chose est certaine, il y a bien plus de qualités que de défauts. En premier lieu, on notera un superbe niveau de détails, nous mettant face à un aspect 3D des plus séduisants. La palette colorimétrique se montre grandement fidèle aux volontés de Niccol et de son directeur de la photo, rendant ainsi aux couleurs " cliniques " tout leur brio. Les contrastes ne sont pas en reste et nous délivrent une remarquable profondeur. Du côté des petits défauts, on notera quelques courts passages un peu moins bien définis que la majorité (image plus douce) et un peu de grain et de bruit dans quelques scènes en basse lumière...

 

TEST SON :

La piste TrueHD anglaise remplit aisément son office et finesse et subtilité dans la restitution des différentes ambiances sont au rendez-vous. Les canaux frontaux accusent une très belle dynamique d'ensemble, et nous font profiter d'une harmonie de premier ordre. A l'image de la piste SD, la spatialisation est impressionnante (on va jusqu'à entendre le léger cliquetis des touches de clavier lorsque l'on traverse la pièce où les gens travaillent). La précision de la localisation est également très appréciable : le bruit des pas se déploie harmonieusement sur tous les hauts parleurs, le travail sur les répercutions sonores, la gestion des échos est d'un raffinement assez jouissif. On est véritablement plongés au cœur du film. L'immersion sonore est remarquable et d'une grande clarté en V.O. Le bruit de la mer fait vrombir les basses, tout comme le lancement des fusées. Les canaux surrounds n'en font jamais trop et respectent le matériau d'origine (amateurs de gros bruits, laissez vous séduire par un peu de finesse). Son homologue française s'en tire avec les honneurs et ce même si l'harmonie n'est pas aussi fine. Le résultat demeure des plus probants...

 

 

Edition :

 Edition Deluxe

Format Cinéma :

16/9 Anamorphique Compatible 4/3

Format Vidéo & Encodage :

Vous indique un format d’images en haute définition, soit 1080 lignes et 1920 points par lignes… Indique le Codec utilisé pour l’encodage vidéo, en l’occurrence  du «MPEG 4 / AVC »…

Versions Sonores

Indique la langue utilisé pour cette piste sonore, ici le Français...

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Indique la langue utilisé pour cette piste sonore, ici l'Allemand...

Langues

Sous-titres :

Français, Anglais, Allemand, Arabe, Grec, Turc.

Menu :

Indique la langue utilisé pour les menus de navigation, ici le Français...

A Propos Du Support

Type :

1 BD 50

Packaging :

Indique que le packaging est un vulgaire boitier blastique...

 

LES SUPPLEMENTS :

 

 

Scènes supplémentaires : Notons l'attention délicate de pouvoir les visionner en intégralité. Elles n'ont pas hélas fait l'objet d'un quelconque traitement de faveur pour leur présentation sur ce DVD et sont d'une qualité nettement perfectible. On regrette également l'absence de commentaires pour justifier ces coupes.

 

Parois Dures (1'00) : Courte conversation entre Ernest Bognine et Ethan Hawke au début du film où on souligne le fait que Vincent ne s'accepte pas. Un beau et court moment où le vieil acteur invite le héros à la résignation.

 

Adieux A César (2'10) : Encore un moment avec Ernest Borgnine coupé. Son personnage s'avérait plus fouillé, plus proche du héros. C'est dommage car la performance de l'acteur, si elle n'apporte rien au récit, est assez émouvante.

 

8ème Jour Au Centre (version originale) (3'15) : Il s'agit d'une version un peu plus longue de la scène où les parents de Vincent conçoivent leur second enfant. On leur propose notamment un petit supplément pour en faire un musicien. Cela renforce sans doute un peu trop l'aspect scientifique et le contrôle absurde de toutes les futures caractéristiques. On ne regrettera pas que cette scène ait été écourtée dans le montage final.

 

Briefing Sur La Mission (1'00) : Un dernier suspense avant le lancement final qui aurait été quelque peu redondant.

 

L'enquêteur Découvert (1'20) : Intéressant entretien entre les deux détectives où le vieux explique au jeune qu'il a des liens avec " l'in-validé ". L'approche est ici plus explicative alors que la découverte de cette parenté est d'abord suggérée dans le film. Cela offre une variante intéressante.

 

Coda (1'50) : Belle conclusion dans un générique où défilent les grands personnages dont nous aurait privé le " génétiquement correct " (Lincoln, Emily Dickinson, Van Gogh, Kennedy...). Cela donne une portée plus engagée au film, différente. Son message est explicité de manière extrêmement éloquente. Cette absence est-elle regrettable ? Sans doute...

 

 

Documentaire Original (6'50) : Featurette très promotionnelle où l'on voit des images du tournage entrecouper la bande annonce commentée par la voix grave bien connue et très stéréotypée qui vante les mérites du film. On y voit des interviews d'époque où les acteurs vous expliquent très superficiellement la portée du film. Sans beaucoup d'intérêt.

 

 

Bienvenue à Gattaca (21'00) : Un vrai Making of ou l'on apprend comment Niccol a œuvré pour concevoir son monde et imposer sa vision. Outre les congratulations et les dithyrambes d'usage (ici justifiés), on en apprend un peu plus sur sa technique. Ethan Hawke y évoque sa collaboration avec Jude Law (alors présenté comme un jeune talent). Le beau générique d'ouverture est ensuite expliqué (filmé avec une caméra à grande vitesse). On voit quelques story-boards mis en regard avec la scène correspondante (celle où Vincent traverse la route). La méticulosité apportée au choix des décors et des accessoires est assez impressionnante. Ce module est conventionnel mais apprend tout de même beaucoup sur la préparation de ce film, en particulier ses choix esthétiques et architecturaux (dans des bâtiments existants avec le système D nécessaire à une oeuvre d'une grande ambition et d'un budget limité).

 

 

Ne Pas Modifier ? (15'00) : Petit documentaire assez captivant et en relation avec le film sur l'histoire de la génétique, la découverte de l'ADN. On y évoque ensuite les problèmes moraux que le clonage ou la thérapie génique impliquent, ainsi que leurs grandes possibilités. C'est instructif, parfois trop didactique, mais parfaitement cohérent avec l'œuvre qui, au fur et à mesure que le temps passe, apparaît de moins en moins improbable.

 

Contrôle De Substance (0'30) : Petite scène en forme de bêtisier pour clore cette section, où le scientifique contôle l'urine de Jérôme d'une façon quelque peu inattendue.

 

 

Le film annonce est celui de l'édition du trentième anniversaire de "Rencontres Du Troisième Type".

 

 

 

Au Final

Le Film :

L'image :

Le Son :

Les Bonus :

Le Packaging :

En Conclusion :

On peut regretter l'absence totale de commentaires, celle assez étrange d'Andrew Niccol dont on aimerait avoir le regard et le témoignage. Toutefois, le making-of du film ainsi que le documentaire sur la génétique enrichissent le visionnage d'une manière assez satisfaisante.

 

 

Dernière Mise à Jour

Le jeudi 17 juin 2010 à 23:27:42

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